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Philippe Laprise: réglé à l’heure des Pierrafeu
Le Journal de Montréal
La télévision possède plusieurs pouvoirs, dont celui de faire rêver. Philippe Laprise en sait quelque chose. Heureux de s’installer très souvent devant le petit écran quand il était jeune, l’humoriste se plaisait à imaginer changer de vie avec les différents personnages ou sportifs qui défilaient devant ses yeux. La télé avait ce quelque chose de merveilleux qui le comblait...
Philippe, quelle émission jeunesse t’a marqué ?
C’est sûr que c’est niaiseux, mais Les Pierrafeu, c’est une émission que j’ai écoutée tellement souvent. Je me souviens que j’arrivais de l’école sur l’heure du midi et j’écoutais Les Pierrafeu tout le temps. Je savais qu’il fallait que je parte quand Les Pierrafeu était finie pour ne pas arriver en retard à l’école. C’était comme une espèce d’agenda pour moi.
Quels sont tes plus beaux souvenirs télé liés à ton enfance ?
Mon père était un fanatique de La petite vie et j’aimais bien ça l’écouter avec lui. La petite vie, ç’a marqué mon enfance parce que je me souviens que c’était comme un rassemblement dans le salon, avec ma famille. C’est ça qui était cool.
Regardais-tu beaucoup la télé lorsque tu étais tout jeune ?
J’aimais beaucoup écouter la télé parce que je trouvais que c’était merveilleux.