
Panne majeure chez Facebook: l’importance d’avoir un bon plan B en tête
Le Journal de Montréal
Alors que 65 % des Québécois se connectent au moins une fois par jour aux réseaux sociaux, les plus dépendants ont réalisé hier l’importance d’avoir un plan B pour réussir à fonctionner en cas de panne majeure.
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Selon l’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet (ACEI), 74 % des Canadiens passent de trois à quatre heures en ligne par jour.
Personnellement ou professionnellement, la situation demeure la même. « L’hyperconnectivité » contrôle le quotidien d’un grand nombre de citoyens.
Selon plusieurs experts, personne ne devrait avoir un seul outil de communication ou une seule manière de réaliser des affaires.
« Quand il y a une panne aussi importante, des gens sont bien mal foutus, souligne Bruno Guglielminetti, spécialiste des médias numériques. J’ai une bonne pensée pour les organisations qui avaient décidé de diffuser une campagne de publicité, de promotion ou de faire un Facebook live de leur lancement. Les politiciens peuvent relayer leur point de presse. Ça va aussi loin. »
Même Facebook devra peut-être se poser des questions sur le fait d’avoir unifié ses réseaux.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.