Nick Carter en deuil de sa sœur, un an après la mort de son frère
Le Journal de Montréal
Le mauvais sort semble s’acharner sur la famille de Nick Carter; la sœur du chanteur des Backstreet Boys, Bobbie Jean, s’est éteinte à 41 ans en Floride, rapportent plusieurs médias américains.
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La mère Jane Carter a confirmé la nouvelle TMZ en déclarant: «Je suis sous le choc à la suite du décès soudain de ma fille Bobbie Jean. Je vais avoir besoin de temps pour digérer cette tragédie qui me frappe pour une troisième fois».
En effet, le décès de Bobbie Jean survient à peine plus d’un an après la mort de Aaron Carter, qui s’est noyé le dans son bain après avoir perdu conscience à cause des drogues qu’il avait ingérées, le 5 novembre 2022.
Environ 10 ans plus tôt, soit le 31 janvier 2012, Leslie Barbara Carter avait également perdu la vie après avoir chuté dans sa douche. Les autorités ont ensuite dévoilé que la femme de 25 ans avait fait une surdose de médicaments, sans attribuer à celle-ci la cause du décès de Leslie.
Samedi, la mère du clan Carter n’a pas dévoilé la cause du décès de Bobbie Jean, affirmant qu’elle fera une déclaration complète lorsqu’elle se sentira capable de le faire.
Selon des sources consultées par le magazine People, Bobbie Jean aurait perdu la vie à la suite d’un arrêt cardiaque.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.