Maripier Morin vend d’autres vêtements
Le Journal de Montréal
« Si tu as raté ma vente de vêtements à Québec, sache que tu pourras te reprendre », a écrit Maripier Morin hier dans une publication Instagram. L’animatrice est la première artiste invitée à revendre ses chics vêtements dans l’espace personnalité de la boutique Espace boutique Prêt-à-Reporter. « Quel honneur ! », peut-on lire sur la page Instagram de la boutique située sur le boulevard Wilfrid-Hamel, à Québec.
Pour la cause de la dépendance
Ce sont 15 pièces de designer ayant été portées par l’animatrice de 35 ans qui seront mises en vente le samedi 9 avril prochain, dès 11 h, dans une formule « premier arrivé premier servi ».
Tous les profits des ventes de ses articles seront remis au fonds Grains d’espoir. Ce projet, en collaboration avec Rubino, a pour mission de lutter contre la dépendance. La comédienne s’y est associée il y a quelques mois, après avoir fait la connaissance d’Angelo Rubino lors de rencontres anonymes.
Cette initiative de vente de vêtements portés par l’animatrice vient s’ajouter au balado abordant des sujets liés à la dépendance et au rétablissement, à la vente de sacs de grains de café et à la vente de tuques Grains d’espoir.
On ignore si Maripier Morin ira à la rencontre du public au cours de cette vente, comme elle l’avait fait lors de son événement Pop Up de décembre dernier.
On se souvient que la comédienne avait fait une sortie publique en foulant le tapis rouge du film Aline en novembre dernier. Elle était en compagnie de Mariloup Wolfe, la réalisatrice du film Arlette, dans lequel elle tient le rôle-titre.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.