
Marc Dupré en exclusivité
Le Journal de Montréal
Un tapis rouge, des vedettes, du champagne et un Marc Dupré en grande forme sur scène : la réouverture du nouveau Cabaret du Casino de Montréal, jeudi soir, s’est faite festive et glamour.
Il régnait une ambiance de grand spectacle de variétés dans le nouveau Cabaret du Casino de Montréal jeudi soir. À l’impressionnant jeu de lumière sont venus s’ajouter un groupe de musiciens talentueux, une mise en scène efficace, bien des décibels et un chanteur plus que généreux.
Marc Dupré a commencé son spectacle avec des pièces tirées de son nouvel album Où sera le monde. Et dès les premières notes, on savait que ce spectacle spécialement conçu pour le Cabaret du Casino de Montréal serait d’un bon calibre.
« Est-ce que vous avez le goût de faire la fête ce soir ? », a lancé l’artiste à une foule masquée, mais visiblement heureuse de se retrouver dans une salle de spectacle en sa compagnie.
L’auteur-compositeur-interprète était accompagné sur scène de cinq musiciens : Jean-François Langevin à la basse, Maxime Lalanne à la batterie, Guillaume Doiron à la guitare, Guillaume Marchand au clavier et Kaven Girouard aussi à la guitare.
« Merci d’être là ce soir, ça me touche énormément ; tu aurais pu choisir de rester l’autre bord, être en train de gagner 20 000 $ dans les machines », a-t-il ajouté, moqueur. Je me sens comme Céline, même si le Casino n’a pas voulu me faire une scène en pente... » Celui qu’on a d’abord connu comme humoriste allait être ainsi tout au long de la soirée : chaleureux, comique et parfois juste assez cinglant.
Aux chansons de son répertoire nouveau et ancien se sont ajoutées de belles surprises, dont la visite de son amie Annie Villeneuve venue chanter Tomber à l’eau et Life is a Highway de Tom Cochrane avec lui, en duo.
Des classiques
Le chanteur a aussi livré de grands classiques comme Suspicious Minds d’Elvis Presley, Suavemente d’Elvis Crespo et In the air Tonight de Phil Collins. Quant à la pièce Heaven de Bryan Adams, il l’a chantée en duo avec sa fille Stella, tel un clin d’œil émouvant à ses racines d’imitateur. Celle-ci a également interprété la chanson d’Adele When We Were Young.

Il y a un an, Donald Trump s’invitait à la cérémonie des Oscars en fustigeant sur les réseaux sociaux son animateur, Jimmy Kimmel. Douze mois plus tard, alors que le 47e président des États-Unis a récemment promis de «ramener l’âge d’or d’Hollywood», son ombre planera plus que jamais sur la 97e édition de la grand-messe du cinéma américain.