La Montréalaise Amélie Wojtkow a imaginé une idylle se déroulant à New York pour son premier roman, «Dis-moi oui»
Le Journal de Montréal
Écrivaine française établie au Québec depuis quelques années, Amélie Wojtkow est une fan d'histoires d'amour qui a décidé d’en écrire une. Qui plus est, une idylle qui se finit bien. C’est maintenant chose faite avec Dis-moi oui, publié chez Hugo. Elle raconte l’histoire délicieuse de Sophie, une serveuse de Chicago qui rêve de devenir illustratrice. Sophie rencontre un séduisant barman, Scott, lors d’un voyage à New York. Deux ans plus tard, ils se croisent à nouveau. Serait-ce un coup du destin?
Sophie avait promis à sa meilleure amie de s’amuser sans retenue pendant son voyage dans la Grosse Pomme. Elle passe le dernier soir en compagnie de Scott, qui la trouble plus que prévu. Lorsqu’elle le quitte au petit matin, elle a le sentiment qu’il y a vraiment quelque chose entre eux.
Deux ans plus tard, Sophie est de retour à New York. Elle vit en colocation et travaille comme serveuse, mais rêve toujours d’illustrer des livres pour enfants. Un jour, boum! Elle croise Scott au coin d’une rue, complètement par hasard. Tous ses souvenirs se bousculent dans sa tête. Y a-t-il encore une possibilité de petites étincelles entre eux?
«Au début, j’écrivais juste pour moi... Quand je me couche, le soir, j’ai le cerveau qui tourne à cent milles à l’heure. J’aime bien inventer des petites histoires avec des choses que j’entends à droite et à gauche. Au bout d’un moment, l’histoire commençait à être longue et je me suis dit que ce serait sympa de la mettre sur papier avant d’oublier ce qui se passe!», explique l’écrivaine, en entrevue.
«Une de mes meilleures amies voulait absolument le lire avant de rentrer en France. Je lui ai envoyé. Elle avait adoré et m’a dit: il faut absolument que tu l’envoies à quelqu’un! Et c’est comme ça que tout a commencé.»
Amélie s’est découvert une passion pour les histoires d'amour depuis la pandémie et en lit beaucoup. «Je lis beaucoup, depuis toujours, une quantité de livres pas très raisonnable! J’ai commencé à lire en anglais et j’ai eu un déclic pour la romance.»
«J’adore les comédies romantiques. J’aime passer un bon moment, sans que ça me prenne la tête et que je me couche ensuite et que je me sente tout mal parce que j’ai vu des horreurs à la télé ou j’ai lu des trucs horribles! J’aime lire quelque chose qui me fait sentir bien.»
Dans les années 80-90, tout le monde a entendu parler des K-cars, les Dodge Aries et Plymouth Reliant, qui ont permis à Chrysler de survivre. On oublie par contre souvent qu’en habillant une voiture prolétarienne d’un tuxedo, Chrysler a également connu un joli succès et dégagé de confortables marges avec sa LeBaron. Modèle qui a aussi servi de base à la plus rare des K-cars, comme vous pourrez le voir plus loin.