
La Hyundai IONIQ 6 2023 débarque en Amérique du Nord
Le Journal de Montréal
Après avoir levé le voile sur le design de l’IONIQ 6 l'été dernier, cette dernière création électrique signée Hyundai débarque finalement en sol nord-américain aujourd'hui au Salon de l'auto de Los Angeles.
Gabriel Gélinas, journaliste au Guide de l’auto, a eu l'occasion de l’essayer en Corée du Sud il y a quelques mois, nous donnant par le fait même un aperçu de la dynamique de conduite et de l'expérience globale au volant de cette dernière.
Aujourd’hui, nous contemplons cette IONIQ 6 sous sa forme nord-américaine avec toutes les spécifications et les détails relatifs à notre marché.
Hyundai a introduit (ou ramené) un style unique des années 90 avec l'éclairage de style pixel sur l'IONIQ 5 – et l'IONIQ 6 hérite de la même philosophie. Il n'y a pas moins de 700 pixels paramétriques dans les phares, les feux arrière et à l'intérieur de l'habitacle qui renforcent cet aspect à la fois futuriste et vintage.
Le modèle d’essai coréen qui a été confié à notre journaliste plus tôt cette année était équipé de minces rétroviseurs numériques (caméras), qui ne sont pas approuvés sur nos routes nord-américaines. Comme vous pouvez le voir sur les images, le produit fini destiné à notre marché reçoit une paire de bons vieux rétroviseurs physiques qui suivent raisonnablement le design épuré du véhicule.
Pour le reste, on droit à un savant mélange de vieux et de nouveau. La partie arrière de type « boattail » n'a pas été conçue strictement pour le look. Grâce à elle (et à d'autres caractéristiques extérieures telles qu'une couverture complète du dessous de la carrosserie et des passages de roue réduits), l'IONIQ 6 a un coefficient de traînée de 0,22.
L'IONIQ 6 est équipée d'une batterie de 77,4 kWh qui peut être couplée à des configurations à roues motrices arrière (RWD) ou à quatre roues motrices (AWD). La configuration AWD développe 320 chevaux et 446 lb-pi de couple, tandis que la configuration RWD délivre 225 chevaux et 258 lb-pi de couple.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.