
Journée pour un Internet plus sûr: les suggestions de Google pour vous protéger
Le Journal de Montréal
Depuis plusieurs années, chaque fois qu’il est question de sécurité informatique, les nouvelles ne sont pas encourageantes.
Rien qu’aujourd’hui – Journée pour un Internet plus sûr –, on découvre, dans le Portrait annuel TI des entreprises canadiennes des firmes NOVIPRO et Léger, la grande vulnérabilité de ces dernières aux attaques informatiques.
Celui-ci révèle que plus de la moitié (56%) des organisations ciblées par des logiciels malveillants ont payé les montants demandés par les cybercriminels. Parmi celles-ci, une entreprise sur trois (33%) a retenu les services d'un négociateur, tandis que 23% ont procédé sans l'aide d'un intermédiaire.
À lire: La moitié des entreprises attaquées ont payé des rançons
Et parce que les données sont plus précieuses que les rançons, elles préfèrent payer. Ce faisant, elles encouragent la piraterie.
La popularité du télétravail (mal nécessaire ou panacée, c'est selon) fait augmenter les risques de vulnérabilités et de cyberattaques, mettant à rude épreuve les services TI des entreprises.
«Les entreprises victimes de cyberattaque admettent une fois de plus que les ressources internes (les employés) représentent la plus importante source de menaces informatiques (53%). De ce nombre, 31% sont animées d’intentions malveillantes et 22% déclenchent involontairement une attaque, par exemple si l'on clique sur un lien frauduleux. Également, 27% des menaces proviennent de l’externe et 13% des partenaires, fournisseurs et clients», selon le rapport de NOVIPRO.
À l’occasion de la Journée pour un Internet plus sûr, le géant Google a publié aujourd’hui ses recommandations pour protéger vos données et vos informations personnelles.

Mélanie Blanchard a perdu 200 livres et compte maintenir ses saines habitudes malgré les difficultés
En 2021, en pleine pandémie, un reportage mettait en lumière le parcours inspirant de Mélanie Blanchard, qui avait alors perdu 70 livres. À son poids le plus élevé, elle approchait les 400 lb, mais une transformation radicale de son mode de vie lui a permis d’éliminer 200 lb.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.