![Joe Biden pressé d’être «honnête» sur son état de santé](https://m1.quebecormedia.com/emp/emp/d5cf4880-34f8-11ef-bcff-d9d5bf764bb4_ORIGINAL.jpg?impolicy=crop-resize&x=0&y=62&w=1200&h=675&width=1200)
Joe Biden pressé d’être «honnête» sur son état de santé
TVA Nouvelles
Après le calamiteux débat de Joe Biden face à Donald Trump, le camp démocrate presse le président américain d’être «honnête» sur son état de forme, et les interrogations montent sur la responsabilité de sa garde rapprochée.
• À lire aussi: Joe Biden est fichu
• À lire aussi: Jill Biden est plus que jamais en première ligne de la campagne de son mari
• À lire aussi: Sous une perspective historique: Biden doit rester candidat, selon un historien
«Nous devons être honnêtes avec nous-mêmes sur le fait que ce n’était pas seulement une nuit horrible», a déclaré mardi sur CNN l’élu à la Chambre des représentants Mike Quigley, un démocrate de l’Illinois (nord).
«Les gens veulent être sûrs que (...) le président et son équipe sont honnêtes avec nous à propos de son état» et que le débat de jeudi «était vraiment une anomalie», a pour sa part souligné lundi le sénateur Sheldon Whitehouse sur la chaîne locale WPRI-TV.
Ce démocrate de l’État de Rhode Island (nord-est) s’est dit «horrifié» par la confrontation avec l’ancien président républicain, lors de laquelle Joe Biden est apparu très confus, et par moments complètement perdu.
Depuis, le président américain n’a pas donné d’interview en direct ni de conférence de presse, ce qui l’obligerait, comme pendant les 90 minutes face à son rival républicain sur CNN, à parler sans filet et sans prompteur.
Lundi, à la fin d’un très court discours à propos d’une décision de la Cour suprême, une journaliste lui a demandé s’il comptait se retirer de la course pour la Maison-Blanche. Le président américain a tourné les talons et a quitté la salle sans répondre.
![](/newspic/picid-6251999-20240704084048.jpg)
L'Organisation de coopération de Shanghaï (OCS), réunie jeudi en sommet avec plusieurs pays aux relations tendues avec l'Occident, dont la Chine et la Russie, appellera à un «ordre mondial multipolaire équitable», a déclaré Vladimir Poutine, formule visant la suprématie des États-Unis qu'il dénonce.