
Jeux de société: trois univers où le stratège est roi
Le Journal de Montréal
Nous faisons un tour dans trois univers qui se situent bien loin l’un de l’autre, mais qui vont nous faire voyager dans le temps et dans la complexité ludique.
On se retrouve à l’époque de l’homme des cavernes pour une partie de chasse au cours de laquelle il faudra peindre ses captures sur sa grotte.
Prehistories est un jeu de pose de tuiles, mais qui ne se limite pas à ce seul mécanisme.
Chaque joueur possède un plateau personnel, sa grotte, qu’il devra décorer en récupérant des tuiles d’animaux sur un plateau principal.
Pour ce faire, chaque joueur dispose d’un paquet de 12 cartes « chasseur » qui vont permettre de déterminer l’initiative, c’est-à-dire l’ordre dans lequel les joueurs vont pouvoir visiter les divers lieux du plateau principal afin de récupérer des tuiles.
Sur chaque carte, on retrouve une valeur de chasse, celle-ci va déterminer quel endroit du plateau principal il est possible de visiter puisque chacun possède une valeur différente.
Il faut donc utiliser les cartes employées lors de l’initiative pour partir à la chasse. Il est possible de les combiner ou de les séparer pour visiter plus d’un endroit et ainsi récolter plus d’une tuile.
L’objectif est de remplir sa caverne de tuiles afin de répondre à des objectifs qui vont vous permettre de vous départir de vos huit jetons Totem en les déposant sur chacun des objectifs réalisés. Le premier joueur à ne plus avoir de Totem remporte immédiatement la partie.
Il s’agit d’un jeu fort simple à prendre en main et qui se joue rapidement en apportant une variation sur une mécanique connue.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.