
Guylaine Tremblay s’éclate sur scène
Le Journal de Montréal
Pour la toute première fois de sa carrière, Guylaine Tremblay se retrouve seule, sur les planches, sans être dans la peau d’un personnage, où elle se raconte et où elle chante. Quittant sa zone de confort, elle admet avoir beaucoup de plaisir dans cette nouvelle aventure où elle se raconte à travers les chansons d’Yvon Deschamps.
« La réponse du public est excellente. Ça va super bien. C’est un bonheur de faire ce spectacle. J’ai plus de plaisir que je le pensais. Je n’avais jamais pensé faire ça dans ma vie », a-t-elle lancé, lors d’un entretien.
Guylaine Tremblay sera de passage au Capitole de Québec, les 11 et 12 mai, avec son spectacle solo J’sais pas comment, J’sais pas pourquoi.
Un spectacle qu’elle a lancé le 12 février à Terrebonne. La comédienne avoue qu’elle était très nerveuse avant cette première.
« Je me suis payé un bon gros trac. J’avais peur de ne pas être à la hauteur, que les gens ne trouvent pas ça intéressant et de perdre la voix. J’étais vraiment nerveuse », a-t-elle avoué.
C’est une fois rendu au théâtre, vers 16 h, lors des tests de sonorisation avec ses quatre musiciens, le pianiste Jean-Fernand Girard, le guitariste Michael Pucci, la bassiste et contrebassiste Patricia Deslauriers et le violoniste et accordéoniste Francis Covan, que les choses se sont placées.
« Le spectacle est arrivé et je n’avais plus le choix. Je suis là. J’étais sur le plongeon. Une fois plongée, c’était merveilleux. L’eau était bonne », a-t-elle indiqué en riant.
Un rêve
Avec ce spectacle, Guylaine Tremblay réalise un rêve vieux de 10 ans. Celui de se raconter à travers les chansons d’Yvon Deschamps.

Il y a un an, Donald Trump s’invitait à la cérémonie des Oscars en fustigeant sur les réseaux sociaux son animateur, Jimmy Kimmel. Douze mois plus tard, alors que le 47e président des États-Unis a récemment promis de «ramener l’âge d’or d’Hollywood», son ombre planera plus que jamais sur la 97e édition de la grand-messe du cinéma américain.