Geneviève Everell: La recette de la résilience
Le Journal de Montréal
Par dizaine de milliers, on a suivi son «cher journal» sur ses réseaux sociaux au cours des derniers mois. Geneviève Everell, cette femme qu’on a vue briller par ses créations culinaires et son énergie de feu, est aussi devenue un modèle de résilience.
Passée déjà par de lourdes épreuves dans l'enfance, elle se heurte au verdict qui tombe: à la veille de donner naissance à son deuxième enfant, elle est atteinte d’un cancer du sein agressif. Le jour de notre rencontre a coïncidé avec l’annonce de sa rémission. J’avais devant moi, la femme qui représente l’espoir. Elle le sait depuis un mois. «Ç'a été plus difficile d’absorber la nouvelle de ma guérison que de la maladie. Vraiment docteur, c’est fini?» Geneviève n’a jamais perdu de vue ce qui fait battre son cœur: la cuisine. On ne parle pas juste de la cuisine comme métier, mais bien comme une passion qui la fait vibrer et qui lui a permis de surmonter bien des tempêtes.
Une épreuve publique
Elle aurait pu choisir de se retirer de la vie publique pour mieux se reposer, Geneviève a fait ce que toute bonne cuisinière ferait: elle a pris les ingrédients de sa vie, même les plus amers, et s’en est servi pour dédramatiser et accueillir le soutien de sa communauté. Elle a su qu'elle avait un cancer du sein quelques jours seulement avant d’accoucher. Une épreuve inimaginable pour n’importe qui. Accueillir une nouvelle vie tout en faisant face à une maladie qui bouleverse la sienne... Pourtant, c’est ce mélange d’émotions extrêmes qui a poussé Geneviève à prendre l’ouragan un jour à la fois. Huit mois plus tard, elle peut dire avec un immense soulagement qu’elle a bien réagi au traitement et qu’elle est aujourd'hui guérie. Son énergie, sa force intérieure et son amour pour sa famille et son équipe de travail l'ont guidée tout au long de ce parcours.
Geneviève, c’est l'âme de Miss Sushi à la maison, une entreprise qui propose des services de sushis à domicile, des franchisées qui s’épanouissent dans leurs régions respectives, et des produits en épicerie qui permettent aux gens de savourer ses créations dans le confort de leur maison. Son empire culinaire a su se tailler une place de choix dans le cœur des Québécois. Lentement, mais sûrement, elle veut reprendre le lien avec ses franchisés et ses employés. L’humanité, l’attention, le soutien au sein de son entreprise lui ont manqué.
La Grand Caravan n’est plus que l’ombre d’elle-même depuis son passage de Dodge à Chrysler. Beaucoup plus dispendieuse et maintenant limitée à une seule version (SXT), ses ventes ont grandement souffert. Or, après une année 2023 difficile, la voici en hausse de 85% après les neuf premiers mois de 2024.
Comme plusieurs autres constructeurs automobiles japonais, Honda accuse un sérieux retard face à l’électrification de son parc automobile. Et pas seulement en Amérique du Nord, puisque les modèles 100% électriques se font même très rares à l’échelle mondiale. Par exemple, le Japon a récemment abandonné la Honda-e (sympathique petite voiture) et ne propose aujourd’hui que le e.Ny1 (base de HR-V) et le N-VANe, dans le créneau des kei cars. Un véhicule urbain qui, sur le plan technologique, n’a rien de révolutionnaire.
Une disette de 31 ans sans championnat, sept exclusions en 10 saisons. Il y a bien longtemps que le Canadien n’a pas été surnommé les «Glorieux» ou la «Sainte-Flanelle». Afin que l’équipe retrouve ses lettres de noblesse, l’auteur du livre Le CH et son peuple propose que ses vedettes s’expriment en français.
La nouvelle surtaxe fédérale de 100% sur les véhicules électriques de fabrication chinoise, en vigueur depuis le 1er octobre, allait inévitablement forcer la main de Tesla. Fini, donc, les Model 3 et Model Y importés au Canada à partir de la Chine. Tous les exemplaires proviendront désormais des États-Unis.