François Legault demande des élections fédérales: «Quelle politicaillerie!» s’exclame Gabriel Nadeau-Dubois
Le Journal de Montréal
François Legault met son énergie au mauvais endroit, déclare Gabriel Nadeau-Dubois au lendemain de cette sortie du premier ministre québécois qui a tenté de s’ingérer dans la politique fédérale en demandant au chef du Bloc Québécois de voter pour la motion des conservateurs qui visait à défaire le gouvernement de Justin Trudeau.
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«Quand j’ai vu les déclarations de François Legault, ma première réaction, ç’a été de me dire: “Quelle politicaillerie!”» raconte le co-porte-parole masculin de Québec solidaire en entrevue à l’émission de Mario Dumont.
«Le système de santé ne va pas bien, le système d’éducation ne va pas bien, la crise du logement n’est pas réglée, le coût de la vie continue de faire mal aux travailleurs et travailleuses de la classe moyenne et là je ne parle même pas de l’adaptation aux changements climatiques avec “Debby” qui a coûté 2 milliards en assurance en une fin de semaine», énumère le représentant du parti gauchiste souverainiste québécois.
Et malgré tous ces dossiers chauds qui devraient être la priorité du gouvernement de la CAQ, selon Gabriel Nadeau-Dubois, le premier ministre se livre à une série «de jambettes» politiques.
«Ce n’est pas ça le travail de François Legault», insiste-t-il. «Il me semble que son temps serait mieux investi à s’occuper des problèmes qui sont ceux du Québec plutôt que de rivaliser d’originalité en pensant être un fin stratège pour faire des jambettes à M. Plamondon.»
Un regroupement de personnes accidentées de la route, qui estime ne pas recevoir assez d’indemnités de la part de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), a organisé une série de manifestations devant les bureaux administratifs de l’organisation afin de réclamer une rencontre avec la ministre des Transports, Geneviève Guilbault.
La présidente du Conseil du trésor, Sonia Lebel, a assuré, mardi en fin d’après-midi, que les deux parties allaient s’asseoir à la table de négociation «dans les prochains jours» avec pour objectif de délier l’impasse entre la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) et le gouvernement caquiste.
Ils sont encore étudiants, mais pensent déjà à investir leur argent à la Bourse plutôt que de sortir dans les bars. La Génération Z, ces jeunes qui ont entre 18 et 26 ans, investissent plus et plus tôt que les autres générations grâce à la technologie et aux réseaux sociaux. Font-ils les bons choix?