
Ford Mustang Dark Horse 2024 : un modèle dévergondé s'ajoute à la lignée
Le Journal de Montréal
Ford a profité du dévoilement de sa toute nouvelle Mustang en marge du Salon de l’auto de Détroit pour lever le voile sur une nouvelle variante dévergondée de sa sportive invétérée, appelée Dark Horse.
Ce modèle spécial se décline également en sous-variantes S et R et hérite de son propre emblème, en plus d’inclure une panoplie de caractéristiques haute performance qui visent à charmer les fans inconditionnels de Mustang.
La Ford Mustang Dark Horse est animée par une itération spéciale du V8 Coyote de 5,0 litres de la Mustang GT. Celui-ci comprend notamment des bielles et des pistons qui se trouvent dans les entrailles du moteur qui anime l'actuelle Mustang Shelby GT500.
Cette motorisation est jumelée à une boite de vitesses manuelle Tremec à six rapports qui est plus robuste que la boite Getrag qui équipe la Mustang régulière. Ceux qui désirent déléguer les changements de vitesses peuvent toujours opter pour la transmission automatique avancée à 10 rapports.
Un radiateur plus léger, des conduits de refroidissement pour les freins, un refroidisseur d’huile à moteur et un refroidisseur pour le différentiel Torsen de série à l’arrière font également partie des ajouts.
Au chapitre du châssis, la liste des améliorations est également très exhaustive. Les conducteurs pourront compter sur des barres antiroulis surdimensionnées ainsi que sur un ensemble de freins Brembo avec étriers à six pistons à l’avant et quatre pistons à l’arrière. Finalement, la puissance est transférée au sol via des roues de 19 pouces (9,5 pouces de large à l’avant et 10 pouces à l’arrière) enrobées de pneumatiques Pirelli P ZERO.
L’ensemble tenue de route livrable ajoute des barres antiroulis encore plus grosses, mais troque également son train roulant pour des jantes encore plus larges de 10,5 pouces à l’avant et 11 pouces à l’arrière. Des pneumatiques Pirelli Trofeo font également partie de l’ensemble.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.