
Floride: découvrir Disney avec un enfant autiste ou ayant des besoins particuliers
Le Journal de Montréal
Votre enfant n’est pas tout à fait comme les autres... Mais comme tout bon parent, vous voulez ce qu’il y a de mieux pour lui. Disney vous semble inatteignable, même si cela reste une destination rêvée pour votre progéniture. Et bien voici de bonnes nouvelles pour vous ! Le parc d’attractions le plus célèbre au monde saura répondre à toutes vos attentes.
Annie Filion a des jumeaux autistes et, croyez-le ou non, elle est allée une trentaine de fois au pays de Mickey en leur compagnie. Disney fait tout pour faciliter sa vie et celle de ses enfants, et son expérience fut à ce point positive qu’elle est devenue conseillère spécialisée dans les voyages à Disney. Voici, selon elle, ce qui fait du pays de Mickey Mouse un endroit particulièrement inclusif et accueillant.
Bien sûr, les parcs Disney ne conviennent pas à tous les enfants, mais les personnes présentant une différence ou un handicap sont toujours reçues à bras ouverts et le personnel est très sensible à leur réalité, considère Annie Filion.
« Tous leurs employés – que l’on appelle Cast Members – reçoivent une formation. Ils apprennent à reconnaître ces enfants, à être attentifs à leurs besoins et surtout à leur offrir de l’aide si nécessaire », nous dit la conseillère en voyages qui s’occupe, entre autres, d’aider les parents de ces enfants à bien planifier leur voyage à Disney.
Elle ajoute aussi que comme l’entreprise a la réputation de bien accueillir cette clientèle, il y a beaucoup de personnes avec des besoins particuliers qui fréquentent ses parcs d’attractions. Les employés sont donc habitués à interagir avec ces dernières.
D’ailleurs, avec ses jumeaux autistes, Annie Filion s’est parfois retrouvée dans des situations difficiles, comme cette fois où son fils William a décidé de grimper dans un décor, et s’est finalement retrouvé par terre, en pleurs. Les employés ont tout de suite su comment réagir avec lui, et cela a vraiment fait toute la différence pour les parents. Bref, l’ouverture d’esprit et l’inclusion sont des valeurs très importantes au sein de l’entreprise, estime la maman et conseillère en voyages.
Quand on lui demande quelle est la plus grande appréhension des parents d’enfants différents qui songent à visiter Disney, elle répond que ce sont les files d’attente dites « régulières » qui sont souvent très longues. Pour faciliter la vie à ces familles, Disney propose ce qu’on appelle le Disability Access Service.
En résumé, ce service permet d’obtenir des rendez-vous aux attractions, à l’aide de l’application mobile My Disney Experience. Lorsqu’il est temps de faire l’attraction, l’enfant ainsi que ses parents ou accompagnateurs peuvent alors emprunter la file rapide, la Lightning Lane. Les visiteurs doivent normalement payer plus cher pour accéder à cette file. Mais dans ce cas, ils n’auront pas de frais additionnels à débourser.
Pour y avoir accès, une inscription préalable est nécessaire. L’inscription peut se faire à l’avance par vidéoconférence sur le site web de Disney ou encore à l’un des comptoirs de services aux visiteurs à l’entrée de chacun des parcs. L’enfant pourra ensuite présenter son fameux bracelet magique Disney Band. Il est aussi possible de prouver son inscription via un téléphone cellulaire, une carte magnétique ou une montre Apple ayant été configurée.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.

Besoin de nouveaux pneus d’été ou toute saison pour votre véhicule? Que vous désiriez vous y prendre longtemps à l’avance ou que vous soyez plus pressé (les pneus d’hiver restent obligatoires au Québec jusqu’au 15 mars, quand même), ce n’est pas si facile de faire le bon choix étant donné le grand nombre de modèles disponibles sur le marché. Voilà la raison pour laquelle Le Guide de l’auto vous propose ses conseils et ses recommandations.