
Essai des caméras Nest Cam et de la sonnette Nest Doorbell de Google
Le Journal de Montréal
J’ai fait récemment l’essai de deux produits de la marque Nest acquise par Google début 2014 ; la sonnette connectée Nest Doorbell et l’ensemble de deux caméras Nest Cam. Cette année, Google a annoncé la Nest Doorbell alimentée par pile, tandis que la Nest Hello originale a été rebaptisée Nest Doorbell (filaire).
L’une comme l’autre vous permet de voir qui se trouve autour de votre demeure même lorsque vous n’êtes pas sur place, grâce à la magie de votre réseau sans fil Wi-Fi et de votre téléphone intelligent.
Et grâce à leur généreuse pile rechargeable longue durée, il est facile de les installer n’importe où sans utiliser de câblage d’alimentation ; un avantage pratique en cas de panne de courant (à condition que votre routeur soit aussi supporté par un système d’alimentation sans coupure). Et leur design moderne se marie ou se confond aisément dans tout domicile.
Rassurez-vous tout de suite quant à l’autonomie de chacun des appareils. Les durées assez longues pour éviter tout souci. Voici les mesures rapportées par Google. Même en ne considérant que la plus courte autonomie, un mois, bien des appareils autonomes ne peuvent offrir pareilles durées de vie sur pile.
Sachez ici que la caméra ne fonctionne pas en permanence, seul le système de détection demeure actif, lequel active la caméra pour enregistrer l’événement.
Les ensembles sont livrés avec leur socle à fixer sur un mur ou n’importe quelle surface bien orientée. L’aimant servant à retenir les caméras Nest Cam en place offre un très solide support magnétique qui permet d’orienter facilement la caméra sur la zone à surveiller. Du moment qu’une branche ou un objet ne tombe pas sur la caméra, elles demeureront en place même par forts vents.
Cela dit, la seule contrainte dans leurs cas est électronique, c’est-à-dire qu’elles doivent être installées dans la zone de couverture de votre réseau Wi-Fi.
Si leur installation matérielle demeure simple, celle de leur configuration est nettement plus longue.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.