
En studio : un avenir incertain pour la Nissan Versa
Le Journal de Montréal
Dans cet épisode En studio avec Antoine Joubert et Daniel Melançon, les deux animateurs se questionnent sur l’avenir de la berline sous-compacte Nissan Versa.
« Malheureusement, Nissan a peut-être raté son objectif, [mais] peut-être pas complètement », explique Antoine. Il ajoute que le but principal de la Versa était de « reprendre le flambeau de la Micra, qui était en fin de carrière ».
La Nissan Micra, une sous-compacte à hayon, a enregistré plus de 50 000 ventes au courant de ses six années d’existence au Canada. « Elle avait [plus particulièrement] gagné le cœur des Québécois », renchérit le chroniqueur. De plus, Antoine mentionne que la petite voiture était sympathique, amusante à conduire et extrêmement fiable.
Mais pourquoi remplacer la Micra par la Versa? Le constructeur nippon veut demeurer un compétiteur dans la catégorie des sous-compactes, même si le segment est en perte de vitesse.
Le problème réside dans le fait que le « produit ne répond pas à la même clientèle », selon Antoine. Pour comprendre les enjeux en lien avec la Nissan Versa, visionnez la capsule ci-dessus.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.