
Cette Mustang entièrement électrique sera produite en 499 exemplaires
Le Journal de Montréal
Parce qu'elle est théoriquement une réplique autorisée par Ford et faite d’un assemblage de divers matériaux composites, la Ford Mustang Fastback 1967 que vous avez devant vous ne peut être décrite comme un « restomod » (ou comme électromod, en termes modernes).
Ceci dit, elle n’est pas moins surprenante pour autant. C’est la création de l’entreprise Charge Cars, une firme basée à Londres en Angleterre qui emploie plusieurs ingénieurs issus de la Formule 1 et de divers constructeurs automobiles de luxe britanniques.
Cette semaine, Charge Cars a officiellement dévoilé le modèle de production de cette sportive, et, par le fait même, sa vision de ce que devrait être la Mustang électrique (désolé, Mach-E!).
Sous sa carrosserie moderne empruntant les lignes classiques de la Mustang originale se trouve une batterie de 64 kWh alimentant deux moteurs électriques. La puissance totale se chiffre à 536 chevaux avec un couple impressionnant de 1 061 lb-pi envoyé aux quatre roues.
Cette Mustang a également été modernisée au chapitre de la sécurité, avec des éléments comme les freins ABS, mais aussi des technologies d’aide à la conduite comme l'avertissement de collision avant et le freinage d'urgence automatique et un régulateur de vitesse adaptatif, notamment.
L’autonomie est estimée à 322 kilomètres. Mais comme la voiture a été entièrement développée en Europe, nous supposons que le cycle WLTP a été utilisé pour établir cette autonomie et que, sous la norme SAE que nous utilisons ici, elle devrait osciller autour de 250 à 275 kilomètres.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.