
Avec iOS 15.4, Face ID est maintenant compatible avec le masque
Le Journal de Montréal
Apple a déployé lundi une mise à jour pour l'iPhone qui prend en charge une fonctionnalité de Face ID permettant aux utilisateurs de déverrouiller leur téléphone en portant un masque.
Avec cette mise à jour à la version iOS 15.4, on déverrouille non seulement son iPhone, mais aussi pour acheter avec Apple Pay et pour autoriser les applications et les mots de passe. Même lorsque votre bouche et votre nez sont couverts, votre iPhone peut désormais vous reconnaître en analysant les caractéristiques uniques autour de vos yeux.
Et les quelques réactions glanées ici et là à cette nouvelle fonction de Face ID disent que c’est bien, mais trop tard. Les mesures sanitaires disparaissent un peu partout sur la planète, si bien que le port du masque risque d’être une chose du passé.
Après la mise à jour, les utilisateurs recevront une demande leur demandant s'ils veulent utiliser Face ID tout en portant un masque, puis passeront par le processus de numérisation de leur visage sans porter de masque. Les utilisateurs qui n'ont pas Face ID recevront une demande leur demandant s'ils veulent activer la fonctionnalité.
Avant cette mise à jour, le seul moyen de déverrouiller les iPhone avec Face ID et un masque nécessitait une montre Apple Watch. Une fois la fonction activée, les utilisateurs de l'Apple Watch réveillent leur iPhone puis jettent un coup d'œil à l'écran pour le déverrouiller.
Pour que cette mise à jour fonctionne, il faut un téléphone iPhone 12 ou plus récent.
On accède à cette mise à jour en allant dans l’application Réglages > Général > Mise à jour logicielle.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.