
Amateurs de jeux vidéo, ne ratez pas MEGAMIGS
Le Journal de Montréal
Dans quelques jours, du 9 au 14 novembre, se tiendra l’édition dédiée à l’industrie du jeu vidéo : MEGAMIGS. Un événement organisé et produit par la Guilde du jeu vidéo du Québec et Kaliko.
Cette année, l’événement sera réparti en trois volets pour le grand public ainsi qu’à l’industrie :
Pour les raisons que l’on connaît depuis plus de 20 mois, l’édition 2021 se déroulera virtuellement. Cette année, l’accent sera mis «sur la jouabilité et la découverte. Il sera possible pour le grand public de visiter gratuitement et virtuellement les kiosques et les vitrines d’une centaine d’exposants, ainsi que de découvrir et tester les dernières nouveautés!» Seuls les volets professionnels et les conférences sont facturés.
Parlant des conférences, celles-ci «seront des lieux d’accès à l’information qui favoriseront les échanges. En plus des périodes de questions-réponses, des séances récapitulatives avec les conférenciers seront prévues. Le volet développement d’affaires revient avec une formule des plus interactives et adaptée aux besoins de tous.»
L’an dernier, MEGAMIGS avait rassemblé plus de 1800 participants et 127 entreprises. Jusqu’à treize pays étaient représentés malgré les contraintes de déplacement.
Puisque cet incontournable rendez-vous se concentrera sur la jouabilité et la découverte, les passionnés pourront y jouer à pas moins de 41 jeux dans le cadre d’une vaste exposition gratuite.
En s’inscrivant aisément et sans frais à la plateforme Discord, ils auront la possibilité de réserver une plage horaire de 40 minutes en solo ou avec leurs amis.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.