
Alfa Romeo confirme la venue de son premier modèle électrique
Le Journal de Montréal
Alfa Romeo a finalement dévoilé la semaine dernière son nouveau VUS compact Tonale après trois ans d’attente.
Un peu plus compact que le Stelvio, ce véhicule marque le début de l’électrification au sein de la marque italienne. En effet, il sera disponible au Canada non seulement avec un moteur turbo de 256 chevaux, mais aussi en version hybride rechargeable produisant 272 chevaux et offrant une autonomie électrique d’environ 48 kilomètres.
Un Tonale 100% électrique viendra-t-il ensuite? Ce n’est pas impossible, Alfa Romeo nous ayant confié que la plateforme pourrait s’y prêter. Toutefois, un autre modèle devrait arriver en premier.
Dans une entrevue pour le site Automotive News, le chef de la direction d’Alfa Romeo, Jean-Philippe Imparato, a révélé que le premier véhicule électrique de la compagnie sera prêt en 2024. Il s’agira d’un multisegment plus petit que le Tonale, construit sur une version adaptée de la plateforme CMP de Stellantis. La rumeur veut qu’il porte le nom de Brennero, un col montagneux italien tout comme ceux du Stelvio et Tonale.
Ce véhicule s’accompagnera d’options avec moteur à combustion et sera fabriqué en Pologne, dans la même usine que de futurs modèles Jeep et Fiat.
Un premier Alfa Romeo exclusivement électrique sortira en 2025. Imparato a laissé entendre qu’il pourrait être le remplaçant du Stelvio ou de la berline Giulia, mais sans donner plus d’indications.
Rappelons que Stellantis s’est engagé l’été dernier à faire d’Alfa Romeo une marque qui ne vend que des véhicules électriques d’ici 2027, et ce, tant en Amérique du Nord qu’en Europe et en Chine.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.