Alanis Morissette confirmée au Festival d’été de Québec
Le Journal de Montréal
Grâce au groupe punk suédois Millencolin, on sait qui seront les têtes d’affiche de la soirée du 15 juillet au Festival d’été de Québec.
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Alanis Morissette et Garbage seront les vedettes de ce vendredi soir sur les plaines d’Abraham, apprend-on dans une image de l’affiche de la programmation, que Millencolin a publiée sur Facebook, mardi midi.
Leur présence sur la grille n’est guère une surprise puisque la chanteuse canadienne et le groupe américain étaient déjà à l’horaire du festival de 2020, finalement annulé à cause de la COVID-19, et qu’ils sont annoncés au Bluesfest d’Ottawa, en juillet.
En plus de Millencolin, la publication nous permet d’apprendre que Sum 41, Pennywise, The Beaches, Dakhabrakha, Calamine, The OBGMs et Nobro fouleront les scènes du FEQ, le 15 juillet.
On peut même apercevoir les noms de quelques artistes québécois, de toute évidence programmés la veille, soit Vincent Vallières, Lou-Adriane Cassidy, Millimetrik et Laura Niquay.
De retour dans sa forme normale après deux étés de pandémie, le FEQ a confirmé il y a déjà un bout de temps la venue de Rage Against The Machine sur les Plaines, le 16 juillet.
La programmation sera dévoilée mercredi, à midi. Les 20 000 billets offerts en prévente, mardi, ont tous trouvés preneurs.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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