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«Maintenant, c’est le temps de gagner» – Slafkovsky
Le Journal de Montréal
Le Canadien est sur la bonne voie. Pas suffisamment pour attirer des vétérans de renoms, mais assez pour donner envie à ses jeunes joyaux de demeurer au sein de l’équipe à long terme.
C’est ce qui a incité Juraj Slafkovsky à accepter l’entente de huit ans – le maximum permis par la convention collective – proposée par Kent Hughes.
Voyez le point de presse dans la vidéo ci-dessus.
«Je sens qu’on est en train de bâtir quelque chose de vraiment spécial. Je veux faire partie de ça le plus longtemps possible», a-t-il déclaré depuis sa Slovaquie natale, par le biais d’une visioconférence.
Tout comme l’avait indiqué le directeur général du Canadien la veille, les discussions n’ont pas traîné. Slafkvosky aurait pu faire comme Cole Caufield et patienter à la fin de son présent contrat.
Peut-être aurait-il pu toucher encore plus d’argent que les 60,8 M$ consentis par le Tricolore? Mais ça ne l’intéressait pas.
«L’important, c’était les huit ans. Ce n’était pas une question de faire plus d’argent. Je voulais simplement demeurer ici, a-t-il soutenu. Me placer dans cette situation [signer un gros contrat], c’est pour ça que j’ai travaillé toute ma vie. Maintenant, c’est le temps de gagner.»
Le gros attaquant sera donc sous contrat avec le Tricolore jusqu’à l’âge de 29 ans. Si Hughes a décidé d’aller de l’avant avec le tout premier choix du repêchage de 2022, c’est qu’il croit que l’éclosion à laquelle nous avons été témoins à compter de la période des fêtes est le début d’une longue et fructueuse ascension.
À compter de ce moment, on a senti que le jeune homme avait beaucoup plus confiance en ses moyens, ce qui l’encourageait à décocher plus de tirs au but et à utiliser davantage son physique.