
«Chanteurs masqués»: une humoriste qui prenait place dans le Soleil voulait surprendre sa fille de 6 ans
Le Journal de Montréal
Une populaire humoriste a été démasquée, dimanche soir, à Chanteurs masqués.
Le Soleil, qui nous a éblouis par la chaleur de sa voix et la grâce de ses mouvements, a pris part à la compétition pour surprendre sa fille de 6 ans.
Après avoir chanté Bang Bang et Non, je ne regrette rien plus tôt dans la quatrième saison, l’astre brillant a revisité dimanche Padam, padam, autre classique d’Édith Piaf.
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Aviez-vous deviné que Cathy Gauthier se cachait dans le Soleil? Parmi les enquêteurs, seule la première impression de Sam Breton était la bonne.
Cathy Gauthier, qui est depuis trois saisons de la matinale d’Énergie Le Boost!, a participé à l’émission la plus regardée au Canada pour faire plaisir à sa fille Alice, dont elle a filmé la réaction à la toute fin du sixième épisode, quand elle a révélé être celle qui animait le scintillant costume. C’est que la fillette, qui regarde religieusement Chanteurs masqués aux côtés de sa mère, lui avait demandé pourquoi elle ne participait pas à la compétition dominicale.
«J’ai accepté ce contrat-là uniquement pour faire une surprise à ma fille. Elle me dit depuis longtemps qu’elle veut aller à Chanteurs masqués et qu’elle sait déjà quelle mascotte elle voudrait, mais je lui ai expliqué qu’il faut être connu pour participer à l’émission. Alors elle m’a demandé: "Pourquoi tu n’y vas pas toi d’abord?" Je lui ai dit que c’est parce que je chante mal, mais je me suis ploguée auprès de l’équipe pour prendre part à la saison. La réaction de mon bébé va faire du bon contenu à réseaux sociaux!»
Cathy Gauthier ne chante pas mal du tout, comme elle l’a montré à trois reprises sur le plateau chauffé par Sébastien Benoit.
Malgré la lourdeur de son costume brillant, qui l’empêchait de pouvoir bouger autant qu’elle l’aurait souhaité, ce que retient le plus l’humoriste et animatrice de 47 ans, c’est son passage au studio d’enregistrement où elle a fait ça comme une championne. Une seule prise et le tour était joué, à son grand étonnement.

Il y a un an, Donald Trump s’invitait à la cérémonie des Oscars en fustigeant sur les réseaux sociaux son animateur, Jimmy Kimmel. Douze mois plus tard, alors que le 47e président des États-Unis a récemment promis de «ramener l’âge d’or d’Hollywood», son ombre planera plus que jamais sur la 97e édition de la grand-messe du cinéma américain.