Fait beau. Fait chaud. L’été semble à nos portes. Et c’est la longue fin de semaine en l’honneur des Patriotes. Il y a raison de bien boire et relaxer sur le bord de la piscine tout en sirotant un petit verre de vino. Voici trois belles bouteilles qui devraient exciter votre bulbe olfactif et émoustiller vos papilles.
Les cours ont officiellement repris le mardi 14 mai dans les trois établissements du Cégep de Lanaudière, dont celui de L’Assomption où j’enseigne et où ma fille est étudiante. J’aurai donc traversé la semaine de suspension de cours comme professeure, mais aussi comme tous les parents de près de 7000 étudiants de la région.
Bitcoin was lumped in with other speculative investments during the run-up of the U.S. Federal Reserve’s last tightening cycle, slumping on expectations higher interest rates would damp the appetite for risk. Now with optimism growing again that borrowing costs could soon be heading lower, advocates of the biggest cryptocurrency are saying its more akin to high growth assets such as the shares of technology companies.
Être l’un des meilleurs de son sport ne rime pas toujours avec millions de dollars dans le compte en banque et voitures de luxe. Plusieurs athlètes québécois, peu soutenus financièrement, en arrachent et font des sacrifices afin de pouvoir continuer à pratiquer leur discipline: travailler jusqu’aux petites heures du matin, renoncer à être propriétaire, dormir en pension lors des tournois...
GATINEAU | L’école secondaire Grande-Rivière, à Gatineau, est l’une des rares écoles secondaires publiques québécoises qui résistent toujours à l’envahisseur: le cellulaire y est interdit partout pendant la journée d’école, sauf exception. Alors que le gouvernement Legault réfléchit à élargir l’interdiction des téléphones intelligents à l’extérieur de la classe, Le Journal s’est rendu dans cette école secondaire pas tout à fait comme les autres.
L'homme d'affaires Peter Sergakis déplore la détérioration de la situation de l’itinérance à Montréal et interpelle le premier ministre, la mairesse de Montréal, le chef du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le responsable de l'urbanisme de la Ville dans une lettre à laquelle l’Agence QMI a eu accès.
J’ai 22 ans et, comme tous les jeunes de ma génération, j’ai grandi avec les médias sociaux. Pendant notre enfance, nos sociétés se sont lancées dans une grande expérience dont nous avons été les cobayes, alors que l’on ignorait les conséquences de ces plateformes sur notre développement et notre santé mentale. Maintenant que s’amorce un réveil collectif sur cette question, notre génération doit avoir son mot à dire.