Votre Sims pourra désormais être dans une relation polyamoureuse
TVA Nouvelles
Dans une nouvelle mise à jour des Sims 4 , baptisée Amour fou, qui sortira le 25 juillet prochain, votre Sims pourra avoir une vie amoureuse tout aussi diversifiée et complexe que la vôtre (ou presque).
Le jeu de votre enfance ou de votre adolescence évolue et représente de plus en plus de types de relations amoureuses, comme les relations polyamoureuses.
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Grâce à cette nouvelle extension, votre avatar pourra vivre, comme vous, l’enfer que représentent les applications de rencontre et l'univers du dating. Vous pourrez en effet lui créer un profil de dating virtuel ou l’emmener dans un parc ou un bar pour une date.
Plus votre Sims fera de rencontres, plus il apprendra ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas (un peu comme nous dans le fond).
Vos personnages pourront également aussi avoir leur propres turns off, comme certains traits de caractère, de styles vestimentaires ou de coupes de cheveux.
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Ce n’est pas tout: les dynamiques dans le couple évoluent avec la nouvelle extension.
«Vous pouvez désormais définir comment vos Sims abordent les relations amoureuses en termes d’exclusivité physique et émotionnelle. Cela permet à vos Sims de fréquenter plusieurs Sims sans que cela impacte leurs autres relations», peut-on lire dans un billet publié par le développeur du jeu.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...