
Voici le type d’échange que cherche à faire Kent Hughes d’ici la date limite
TVA Nouvelles
Au moment de s’entretenir seul à seul avec Jean-Charles, mercredi dernier à Brossard, Kent Hughes connaissait par cœur le nombre de matchs que le Canadien de Montréal avait à jouer d’ici la date limite des transactions du 7 mars: 22. Le DG du CH a tôt fait d’utiliser cet argument lorsqu’on lui demande de se ranger dans le camp des acheteurs ou des vendeurs.
«On a 22 matchs à jouer encore», a-t-il tempéré lors d’une longue d’entrevue avec l’animateur de JiC, désireux de savoir jusqu’où est prêt à aller l’architecte du Tricolore si ses joueurs continuent de surprendre.
Hughes tient en contrepartie des propos assez limpides en ce qui a trait à ce qu’il ne fera pas: sacrifier l’avenir de l’organisation pour améliorer immédiatement l’équipe en vue de possibles séries éliminatoires.
«Si acheter, c’est louer un joueur et payer des prix élevés pour le futur de notre organisation, alors non», a-t-il tranché, catégorique.
Autrement dit, s’il bouge, Hughes ne risque pas de cibler un futur joueur autonome sans compensation comme c’est de coutume à cette période de l’année.

Saison 2021-2022, un attaquant de la Ligue nationale de hockey (LNH) a amassé 34 points à cinq contre cinq en 56 matchs. Il produisait 2,48 points par tranche de 60 minutes, un rythme qui le classait 41e dans le circuit, tout près de joueurs comme Aleksander Barkov (39e), Artemi Panarin (38e) et Jack Hughes (35e).