Voici comment répondre à une insulte selon la science
TVA Nouvelles
Il nous est tous déjà arrivé de nous retrouver sans mots devant quelqu’un qui nous insulte, ou de trouver la réplique parfaite... des heures plus tard. Voici comment répondre à ces petits commentaires vexants, selon un scientifique.
«La critique et le rejet déclenchent une activité cérébrale indiscernable de la douleur physique», a affirmé le neuroscientifique Dean Burnett dans la dernière édition du BBC Science Focus. Mais n'ayez crainte, il existe de nombreuses astuces appuyées par la science pour désarmer ou renverser une insulte.
La première, selon M. Burnett, est d'assigner une catégorie à la personne qui vous insulte, la rendant plus sujette au ridicule. Par exemple, si quelqu'un critique votre style en disant: «Tes cheveux sont ridicules», une réponse appropriée serait: «Du calme, le vieux», selon l'explication du neuroscientifique. On catégorise ainsi la personne qui vient de nous insulter comme étant «vieille» et «démodée», ce qui donne l'impression qu'elle ne sait pas de quoi elle parle et la ridiculise à son tour.
La seconde astuce est de détourner l'attention de l'insulte vers la personne qui l'a lancée. «[On] recommande de trouver une réflexion que l'insulteur fait sur lui-même et de l'amplifier», a expliqué le scientifique. Ainsi, si quelqu'un vous dit: «Ta blonde est beaucoup trop belle pour toi, je ne comprends pas ce que vous faites ensemble», la réponse devrait remettre en question la capacité de compréhension de votre interlocuteur. «Il faut que je te fasse un dessin ?» serait une bonne réponse à ce genre d'insulte, selon le chercheur.
La troisième et dernière astuce est de renchérir sur les propos injurieux de la personne qui vous insulte. L'autodérision vous permettra de rester en contrôle de la situation et diminuera le sentiment d'impuissance et d'humiliation. C'est l'aspect le plus important pour désamorcer une insulte et retourner la situation, selon Dean Burnett.
Maintenant que vous avez tous les trucs en poche, faites-en bon usage.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...