Voici 4 choses à savoir sur Telegram, cette application utilisée par les organisations criminelles et terroristes
TVA Nouvelles
L’arrestation, en France, du fondateur milliardaire de l’application de messagerie Telegram, Pavel Durov, met en lumière l’utilisation qu’en font plusieurs organisations criminelles et terroristes.
• À lire aussi: Le patron de la messagerie Telegram Pavel Durov inculpé, Moscou se dit inquiet
• À lire aussi: France: le PDG de Telegram inculpé et remis en liberté sous strict contrôle judiciaire
• À lire aussi: Le PDG de Telegram Pavel Durov visé aussi par une enquête pour violences sur un de ses enfants à Paris
Si elle est peu connue et peu utilisée en Amérique du Nord, l’application Telegram est plus populaire en Europe.
Voici ce qu’il faut savoir sur cette application de messagerie appréciée des organisations criminelles et terroristes.
Comment ça fonctionne?
À la base, Telegram est une application de messagerie instantanée, mais elle devrait plutôt être catégorisée comme un média social, croit la professeure associée à l’UQAM et doctorante en communication Laurence Grondin-Robillard.
L’application «va offrir notamment un service de messagerie texte, de messagerie vocale, de note vocale, mais aussi des groupes de discussion pouvant aller jusqu’à 200 000 personnes, des chaînes, qu’on appelle des canaux, pour certaines entités et organisations où là, on peut vraiment propager ses messages», explique-t-elle en entrevue à LCN.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...