
Un janvier sans alcool Un janvier sans alcool
Radio-Canada
« L’isolement peut contribuer aux changements d’habitudes, sans qu'on s'en rende compte », témoigne la médecin en toxicomanie Ginette Poulin.
Elle précise que les taux de vente d’alcool ont augmenté pendant la pandémie au Canada.
Mme Poulin encourage donc les gens à parler de leur résolution avec leurs proches, et même d’entamer un mois sans alcool en groupe, si cela est possible.
« On peut commencer avec un petit plan. Peut-être que je vais essayer de réduire mes boissons de trois fois par semaine à deux fois par semaine. Peut-être que je veux interchanger mes boissons avec de l’eau. Peut-être que je veux me pousser ou me faire de petits rewards comme m’acheter quelque chose d’autre ou faire une petite marche », suggère la médecin en toxicomanie.
Ginette Poulin rappelle d'ailleurs les effets bénéfiques à court terme de la sobriété comme un sommeil plus récupérateur, une perte de poids et une meilleure santé mentale. En plus des effets à long terme comme celui de réduire les risques de cancer.