Un hiver rempli d’espoir à Whistler
Radio-Canada
L’or blanc de Whistler se montre le bout du nez. La neige qui rime avec arrivée de visiteurs s’accumule déjà sur le sommet des montagnes qui surplombent cette station de ski de grande renommée en Colombie-Britannique.
Les flocons de neige qui tombent sont également synomymes d'espoir pour de nombreux commerçants et d'attractions touristiques qui sourient davantage depuis l'assouplissement des mesures sanitaires.
La saison sera bonne, pensent-ils, les doigts croisés.
C’est notre outil principal. On est content de voir arriver [la neige], dit en souriant Étienne Letondeur, entraîneur en chef au Parc olympique de Whistler. On sait qu’on va en avoir beaucoup pour l’ouverture, alors c’est génial.
Tout comme le nombre de visiteurs canadiens et étrangers qui pourraient affluer à Whistler dont l'ouverture des pistes est prévue le 26 novembre.
La pandémie a eu un effet curieusement assez bénéfique pour l'attraction touristique. Des gens à la recherche de nature, d'activités saines et d’endroits pour échapper aux villes ont opté pour les pistes de ski de fond et de raquette la saison dernière, affirme l'entraîneur en chef qui est aussi conseiller technique.
L’année dernière était très forte et cette année va l’être encore plus. Ce n’est pas du tout l’hiver de la dernière chance, bien au contraire, on est très confiant.
Les mesures autour des frontières se sont assouplies et Whistler n’a pas l’intention de se limiter. Cet hiver, Tourisme Whistler mise sur les visiteurs venant de la Colombie-Britannique, de l’Ontario et du Québec. Et forcément, sur les Américains qui peuvent déjà traverser la frontière canadienne.
La COVID-19 pose encore des obstacles pour nos visiteurs internationaux, souligne Lauren Everest, directrice principale des communications. Cela dit, Whistler est une destination internationale, poursuit-elle. Il y a actuellement une forte demande venant du Royaume-Uni et du Mexique.