Sommet de l’ONU: Justin Trudeau rencontre le premier ministre haïtien
Le Journal de Montréal
La question de l’instabilité en Haïti a occupé une bonne partie de la journée du premier ministre canadien lors du sommet de l’ONU qui se déroule en ce moment à New York.
Justin Trudeau a rencontré lundi matin le premier ministre haïtien, Garry Conille, qui est entré en poste récemment après le départ forcé de son prédécesseur Ariel Henry dans le contexte des violences armées.
Il est également attendu pour prononcer un discours devant le groupe consultatif sur la situation en Haïti.
Le premier ministre a par ailleurs appuyé dimanche ce qui a été présenté à l’ONU comme un pacte sur l’avenir qui vise à une meilleure collaboration du multilatéralisme sur plusieurs aspects, dont le maintien de la paix et la réforme de certaines institutions.
«Les changements climatiques, l’inflation ne s’arrêtent pas aux frontières. L’inégalité est un problème pour le monde entier, pour des personnes de tout horizon. Si l’on veut bien servir ses propres citoyens, on doit s’attaquer ensemble aux grands défis mondiaux», a-t-il déclaré.
Avant de revenir à Ottawa, Justin Trudeau doit également accorder une entrevue au Late Show with Stephen Colbert lundi soir à CBS.
Un regroupement de personnes accidentées de la route, qui estime ne pas recevoir assez d’indemnités de la part de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), a organisé une série de manifestations devant les bureaux administratifs de l’organisation afin de réclamer une rencontre avec la ministre des Transports, Geneviève Guilbault.
La présidente du Conseil du trésor, Sonia Lebel, a assuré, mardi en fin d’après-midi, que les deux parties allaient s’asseoir à la table de négociation «dans les prochains jours» avec pour objectif de délier l’impasse entre la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) et le gouvernement caquiste.
Ils sont encore étudiants, mais pensent déjà à investir leur argent à la Bourse plutôt que de sortir dans les bars. La Génération Z, ces jeunes qui ont entre 18 et 26 ans, investissent plus et plus tôt que les autres générations grâce à la technologie et aux réseaux sociaux. Font-ils les bons choix?