Ronger ses ongles, un trouble potentiellement lourd Ronger ses ongles, un trouble potentiellement lourd
Radio-Canada
L’onychophagie, le terme savant pour désigner le rongeage d’ongles, figure au DSM-IV, la référence des psychologues, ce qui en fait donc un trouble mental.
Dans les cas les plus graves, ce trouble lié à l’ennui et à la frustration peut entraîner une perte de contrôle en plus de désordres physiques et psychiques.
« On se ronge les ongles pour éviter, pour moduler ou pour apaiser ces émotions-là qu’on considère comme étant déplaisantes », ajoute la psychologue.
Parmi les façons de s’en débarrasser, Édith St-Jean-Trudel parle de tenir un relevé détaillé des moments durant lesquels on porte nos doigts à notre bouche, ce qui permet de déterminer les situations à haut risque.
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