Rétrospective: retour sur l’année 2021 dans Rosemont
Métro
À l’approche de la nouvelle année, Métro vous propose une rétrospective des événements locaux qui ont retenu l’attention dans Rosemont au cours des 12 derniers mois.
Cancérologie: un nouveau pavillon pour l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Après des investissements de 40 M$, l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont inaugurait en janvier un nouveau pavillon pour son Institut universitaire d’hémato-oncologie et de thérapie cellulaire. «En oncologie, ce sont des clientèles immunosupprimées. Ce sont des gens qui ont des cancers et dont le système immunitaire est extrêmement faible. Ce sont les gens les plus fragiles qu’on a, et on veut les amener ici», expliquait Jean-François Fortin Verreault, PDG adjoint au CIUSSS de l’Est.
Fermeture définitive pour le Bingo Masson
Un an après la vente de l’immeuble situé au coin des rues Masson et Lafond, le Bingo Masson fermait définitivement ses portes. Une fermeture qui entraînait de lourdes pertes pour les organismes communautaires. «C’est une véritable hécatombe dont on sous-estime les conséquences. La disparition des bingos a une forte incidence sur les possibilités de financement des organismes communautaires», expliquait alors Vincent Marissal, député de Rosemont. En effet, d’après les chiffres du Secrétariat du bingo, le Bingo Masson rapportait plus de 1,2 M$ par an aux organismes communautaires locaux.
COVID-19: le Dr François Marquis a reçu sa première dose de vaccin
Le chef des soins intensifs de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, Dr François Marquis, recevait le 7 janvier son vaccin contre la COVID-19 à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Au sujet de la campagne de vaccination qui se mettait en branle, il déclarait : «C’est certain que plus ça va vite, mieux que ça va être. On pourra toujours dire que ça pourrait aller plus vite, mais je dois dire que la décision de splitter les doses pour maximiser la couverture de première ligne, je pense personnellement que c’est une bonne idée, parce qu’on a vraiment une fragilité au niveau des médecins, des infirmières et des inhalos de première ligne.»