
Quel avenir pour Price?
TVA Nouvelles
Au cours du week-end, Le Journal a soumis l’hypothèse que, advenant que la direction choisisse la voie de la reconstruction, six joueurs détenant des contrats qui seront valides pour trois saisons et plus à la fin de la campagne pourraient changer d’adresse.
Avec son entente lui rapportant, en moyenne, 10,5 M$ par saison jusqu’au terme de la campagne 2025-2026, Price faisait partie des candidats à un déménagement. Sauf qu’il faudra que les hommes de hockey impliqués dans cette décision se lèvent de bonne heure pour parvenir à déplacer le contrat du gardien le mieux payé du circuit.
Avant toute chose, le principal intéressé devra accepter de lever sa clause de non-mouvement. Bien qu’il l’ait fait en prévision du repêchage d’expansion du Kraken de Seattle, il ne le fera pas pour n’importe quelle destination.
À 34 ans, il ne voudra assurément pas se retrouver au sein d’une formation qui repart à zéro. Son rêve de remporter la coupe Stanley s’en trouve assurément grandi depuis qu’il est passé à trois victoires d’y parvenir, l’été dernier.
À moins que l’attrait d’évoluer à Vancouver, dans sa Colombie-Britannique natale, puisse compenser. Encore faudra-t-il que le prochain directeur général des Canucks parvienne à libérer de l’espace sous le plafond salarial.