Première à TVA ce jeudi: Rachel Graton crève l’écran dans «Portrait-robot»
TVA Nouvelles
Après avoir connu un franc succès sur Club illico, la série «Portrait-robot» prend l’antenne ce jeudi à TVA, plongeant les téléspectateurs dans un univers policier alliant suspense et drame psychologique autour de la portraitiste judiciaire Ève Garance, qui est capable de reconnaître les visages et de deviner les secrets dissimulés par les gens.
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C’est la comédienne Rachel Graton qui porte cette femme à la fois forte et fragile. Ève est bipolaire et sa vie a viré au cauchemar cinq ans auparavant à la suite de la disparition de son fils.
La jeune femme évolue au sein de l’Unité des enquêtes, une équipe parallèle aux forces de l’ordre dédiée à des affaires non résolues. Elle côtoie dans le sous-sol humide et vieillot où s’est installée l’unité, la directrice Maryse Ferron (Sophie Lorain), le vieux routier aux méthodes expéditives Bernard «Molosse» Dupin (Rémi Girard) et le technicien en scène de crime Anthony «Anto» Kamal (Adrien Belugou).
L'équipe a bien sûr des enquêtes à résoudre et on s’intéressera même à la disparition du fils d’Ève au fil des épisodes.
«Il y a un beau mixte des genres dans "Portrait-robot": un côté BD, thriller et suspense psychologique. Il y a bien des choses qu’on peut se permettre quand on est dans un univers comme celui-là, c’est sûr que c’est hyper fertile», a dit Rachel Graton en entrevue avec l’Agence QMI.
La comédienne a de l’empathie pour son personnage, qui a été créé par l’auteur André Gulluni et porté par le réalisateur Alexis Durand-Brault. «Ève a une grande fragilité en raison de la disparition de son enfant. Je n’ai pas vécu ça, mais j’ai un petit garçon... Je peux me projeter dans son drame, même si je n’ai pas trop le goût et que je ne sais pas comment on peut poursuivre après un événement comme celui-là.»