Patrick Roy et l’éléphant dans la pièce nommé Lou Patrick Roy et l’éléphant dans la pièce nommé Lou
TVA Nouvelles
Si je pouvais prendre une bière avec n’importe quel dirigeant de hockey dans le monde, je choisirais Lou Lamoriello. Mais si je voulais un dirigeant de hockey pour gagner la Coupe Stanley, je ne choisirais assurément pas Lou Lamoriello. Plus maintenant.
Il est fascinant, le parcours du légendaire Louis, de son vrai prénom. Il n’avait même pas 40 ans et dirigeait les sports d’une université américaine. Je n’étais pas né et il était le président des Devils. Le salaire minimum était à 4,55$ au Québec. Bref, ça fait un méchant bout qu’il est un bonze du hockey.
Quand il a approché Patrick Roy pour le poste d’entraîneur-chef des Islanders, ce dernier a été rapidement conquis. On le comprend. Ça doit être plutôt motivant et gratifiant quand un monsieur comme Lamoriello te fait de l’œil.
Vous avez vu la victoire du Canadien à Dallas, jeudi soir? C’est comme si cette sacrée équipe n’avait plus rien à son épreuve. Les Stars ont frappé tôt dans le match, le Tricolore a répliqué tout de suite. La troupe de Martin St-Louis trouve des façons de gagner. On dit que c’est le signe d’une bonne équipe.