Passeport: plus de 600 personnes en file pour parler à un agent au téléphone
TVA Nouvelles
Vous avez une question concernant votre passeport et désirez parler à un agent au téléphone? Armez-vous de patience!
• À lire aussi: La majorité des Québécois préfèrent passer leurs vacances au Québec
• À lire aussi: Voyage aux États-Unis: avez-vous les bonnes assurances pour votre auto?
En avant-midi, mardi, plus de 525 personnes étaient en file téléphonique pour parler à un représentant, autant en français qu’en anglais.
Vers midi, ce nombre est passé à 625 Canadiens en attente pour les services en français ou en anglais.
«Nous éprouvons actuellement des difficultés techniques», peut-on notamment entendre dans le message d’accueil, qui invite ensuite les gens à rappeler plus tard s’il n’y a pas d’urgence ou à visiter le site internet.
Selon les données publiées sur le site du gouvernement fédéral, le temps moyen d’attente pour parler à un employé du Programme de passeport dans la semaine du 24 au 30 juin était de 85 minutes 15 secondes (1h25).
Il ne faut pas être pressé, aussi, pour obtenir un rendez-vous dans un bureau des passeports ou un centre de Service Canada.
Au Complexe Guy-Favreau, à Montréal, par exemple, le premier rendez-vous disponible est le 12 août, soit dans 34 jours. Les délais d’attente estimés pour ceux qui choisissent de se présenter sans rendez-vous sont d’environ 1h30.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...