
Parti Québécois : «PSPP risque d’être le dernier chef»
TVA Nouvelles
La décision de Paul St-Pierre Plamondon de ne pas se présenter à l’élection partielle dans Marie-Victorin était la seule véritable option pour le chef du Parti Québécois, selon les panélistes de l’émission «La Joute».
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Les jouteurs étaient tous d’accord pour dire que les chances de l’emporter étaient trop minces pour que le chef péquiste y fasse campagne.
«C’était un château fort du PQ. Il n’en reste plus. Il avait une chance de passer là, mais il n’y va pas. Il n’a plus vraiment de crédibilité», clame Luc Lavoie.
Pour Elsie Lefebvre, la victoire de la CAQ est pratiquement assurée. Selon la jouteuse, seul Québec Solidaire conserve un mince espoir de battre le parti de François Legault.
«Ça va être une dure défaite pour Québec Solidaire s’ils ne l’emportent pas, parce qu’ils vont mettre le paquet pour l’emporter», affirme-t-elle.
De son côté, Thomas Mulcair estime que les jours du Parti québécois sont possiblement comptés. La formation politique est recalée au rôle de troisième groupe d’opposition à l’Assemblée nationale, souligne-t-il.
«Ce parti-là a été vidé de l’intérieur. Je soupçonne que PSPP risque d’être le dernier chef (du PQ)», estime le jouteur.