Ouragan Béryl : une famille demande des compensations à Sunwing
TVA Nouvelles
Des vacances en Jamaïque ont tourné au cauchemar pour une mère et sa fille d’Edmundston, au Nouveau-Brunswick. Elles ont voulu fuir l’ouragan Béryl, mais leur retour au pays a été chaotique et elles demandent maintenant des compensations à Sunwing.
Le 30 juin, Pascale Levesque et sa mère s’envolent pour la Jamaïque pour s’offrir des vacances de rêve. Mais, en à peine 24 heures, tout bascule. L’hôtel les informe que l’ouragan Béryl arrive sur les Caraïbes.
«Il m’a dit: oh ma chère il va y avoir un ouragan, ça va être un gros ouragan et faut se préparer en prévision», raconte Pascale Levesque.
«J’avais vérifié la météo, il annonçait du beau soleil, c’était son cadeau de graduation pour nous deux. C’était censé être une semaine de plaisir», dit sa mère Jo’Anne Albert.
Prises de panique, elles demandent à leur agence de voyages de quitter immédiatement le pays.
«On a arrêté de se sentir en sécurité quand le lundi soir il restait une vingtaine ou trentaine de personnes, le monde s’en va, ils sont au courant qu’il y a un ouragan», ajoute Pascale Levesque.
Elles tentent finalement de joindre la compagnie aérienne Sunwing pour être rapatriées sur l’un des vols. Sans réponse. Elles décident de se rendre directement à l’aéroport.
«L’ouragan était de stade 4 et même stade 5, il prenait de l’ampleur assez rapidement donc on voulait sortir du ressort et de la Jamaïque le plus rapidement possible», poursuit la fille.
Après avoir pu mettre la main sur deux billets, Pascale et Jo’anne réussissent à s’enregistrer et à passer les douanes. Mais moins d’une heure avant leur vol, un membre du personnel de la compagnie refuse qu’elles montent à bord de l’avion en raison de surréservation.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...