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Les problèmes derrière l'inoccupation immobilière commerciale
TVA Nouvelles
«On est revenus à la normale par rapport à la pandémie, mais il reste des fractures qui devront être adressées au niveau des artères commerciales de la région de Montréal», explique Christian-Pierre Côté, président de Côté Mercier Conseil Immobilier.
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La compagnie présente une nouvelle étude sur l'inoccupation immobilière dans le grand Montréal et ailleurs dans la province.
L'inoccupation immobilière commerciale au Québec est à un taux de 5,5%, de 4,3% à l'ouest de la province et de 6,2% à l'est de la province.
De ces locaux vides, 40% sont utilisés pour la vente, et 25% pour la restauration.
À Montréal, les rues qui tirent le mieux leur épingle du jeu sont les rues Masson et Jarry, et la perdante est la rue Saint-Denis.
Ce qui fait le succès de la rue Masson, c'est la myriade de commerces de proximité «axés sur leur clientèle», souligne M. Côté.
Pour ce qui est de la rue Jarry, «c'est assurément l’aménagement urbain, l’éclairage, et le mobilier urbain qui améliorent les choses, c’était rendu à un point où il fallait intervenir.»