Les Expos sont un deuil vivant pour moi
TVA Nouvelles
«Il suffirait de presque rien», chantait si bien Serge Reggiani. Malheureusement, même si 20 ans dans une vie, ce n’est presque rien, quand j’ai réalisé que je ne pouvais plus poursuivre ce merveilleux voyage avec les Expos, ils sont devenus un deuil vivant pour moi. Où que je sois dans le monde, il ne s’est pas passé une journée depuis leur départ sans que quelqu’un me demande s’ils allaient revenir.
Je veux que nous revivions ensemble mon dernier match des Expos à Montréal. Mais avant, je veux partager avec vous quelques moments que j’ai passés, cette semaine, avec la voix de Nos Amours, Jacques Doucet.
Lorsque je suis arrivé chez lui, c’était comme si le temps n’avait pas changé nos vies. En écoutant Jacques parler de baseball, c’était comme si nous étions en train de décrire un match ensemble.
Je laisserai mon collègue Jean-Nicolas Blanchet vous faire vivre les moments que nous avons partagés.
Avant de quitter sa résidence, nous nous sommes serrés dans nos bras et nos larmes ne cessaient pas de couler. Je lui ai dit que je l’aimais et que je le remerciais pour tout ce qu’il avait fait pour moi.
On se doutait bien dans les dernières semaines que quelque chose ne tournait pas rond chez les Rangers de New York. Mais voilà que la cascade d’événements qui a plongé l’organisation dans une véritable crise est documentée par le journaliste Vincent Z. Mercogliano du Rockland/Westchester Journal News dans un article coup de poing.