
Les «no show» frappent aussi les terrains de golf
TVA Nouvelles
Les restaurateurs ne sont pas les seuls à devoir s’organiser avec le phénomène des «no-show», les terrains de golf vivent la même situation, selon l’Association des Clubs de golf du Québec.
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«On n’est pas à l’abri de ce qui se passe en restauration. Ça se passe aussi dans l’industrie du golf», insiste Martin Ducharme, président du groupe lors d’une entrevue au Québec matin, samedi.
«On espère que le gouvernement va être capable de légiférer en notre faveur», souhaite-t-il.
Présentement, la Loi sur la protection du consommateur interdit tout dépôt d’un client dans le cadre d’une réservation. Un contrat doit être rédigé afin d’exiger un dépôt monétaire.
«C’est un mécanisme qui est très lourd», affirme le président de l’association.
«C’est une petite réflexion qui est importante à faire [...] C’est une question de respect», mentionne-t-il sur les ondes de LCN.
M. Ducharme admet que la saison golf «va très bien en ce moment» malgré cet inconvénient.