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Le pourboire, un petit plus toujours aussi essentiel
Le Journal de Montréal
On peut devenir réticent à laisser du pourboire maintenant qu’on ressent plus de pression à le faire en payant tout et rien avec une carte. Mais ceux dont le salaire en dépend en ont toujours autant besoin.
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« J’ai l’impression que ça donne la motivation extra de faire la petite attention supplémentaire, de passer la minute supplémentaire avec le client », lance Nicolas Bergeron, serveur et gérant au bistro Tendresse, à Montréal, au sujet du pourboire.
Dans ce resto où tout est végane, les cuisiniers reçoivent 17,5 % de tous les pourboires. Une façon de les motiver eux aussi.
« Pour nous c’est important, on travaille de très près avec les cuisiniers, on est capable de faire notre travail grâce à eux », précise-t-il.
En plus de 12 ans dans l’industrie, Nicolas Bergeron observe que les cuisiniers touchent de 4 % à 8 % des pourboires, quand ils en touchent tout court.
Un système qui fonctionne bien