La clé pour maximiser le rendement de Dvorak
TVA Nouvelles
Aux yeux de son ancien entraîneur-chef Rich Tocchet, Christian Dvorak possède tous les atouts pour devenir le joueur de centre défensif de prédilection du Canadien de Montréal tout en ayant la hargne pour marquer des buts dans l’enclave.
Tocchet et Dvorak ont travaillé ensemble au cours des quatre dernières années avec les Coyotes de l’Arizona. L’homme de 57 ans est donc bien placé pour donner un portrait juste de la contribution de l'athlète, et ses mots ne sont pas sans rappeler ceux qu’on entend pour décrire le jeu de Phillip Danault, particulièrement en zone défensive. Ainsi, Dvorak était régulièrement confronté aux meilleurs trios adverses dans le désert, et il a brillé dans cette position. «C'est un rôle dans lequel nous l'avons utilisé lorsque nous avons perdu [Derek] Stepan et [Brad] Richardson, a expliqué Tocchet dans une entrevue exclusive avec le site The Athletic publiée lundi. Je vais être honnête, il nous a gardés dans les matchs, et nous avons gagné quelques matchs parce qu'il a neutralisé les meilleurs joueurs adverses.» «Il y avait de très bons joueurs de centre dans notre section et il a fait du très bon travail pour les neutraliser», a dit le pilote en faisant notamment référence à Nathan MacKinnon et Anze Kopitar.
Le Canada pourrait apporter un changement important à sa formation en vue de l'affrontement de samedi soir face aux États-Unis.
Patrik Laine voulait jouer davantage et son souhait a été exaucé : la Finlande l’a envoyé sur la glace pendant 15 minutes, jeudi, contre les États-Unis. Or, le résultat a été plus ou moins concluant.
Les frères Tkachuk ont de grandes gueules. Puisqu’ils ont deux ans de différence, on peut très bien les imaginer, enfants ou dans la jeune adolescence, en train de se chamailler, de s’étriver ou de se faire des coups pendables.
Les frère Brady et Matthew Tkachuk ont mené la charge pour les États-Unis et ils sont du même coup devenus les visages du nouveau hockey américain.
La Confrontation des 4 Nations se poursuit à Montréal, ce soir, alors que les États-Unis se mesurent à la Finlande.
La scène se passe à la porte du vestiaire de l’équipe finlandaise, au Centre Bell. Patrik Laine et Aleksander Barkov conversent avec le grand Teemu Selanne. À 54 ans, Selanne a encore l’air d’un jeune premier. Teint basané, cheveux longs, sourire accrocheur, on dirait une vedette hollywoodienne.
Demandez encore à Samuel Montembeault s’il est déçu d’être le troisième gardien de l’équipe canadienne à la Confrontation des 4 nations. La réalité? Malgré ses 28 ans, il «trippe» comme un enfant dans un magasin de bonbons.
Il y avait seulement deux joueurs ayant joué la veille contre la Suède à l’entraînement optionnel qu’a tenu le Canada, à Brossard, vendredi : Sidney Crosby et Nathan MacKinnon.
L’ancien avocat qu’est Jon Cooper n’a jamais eu peur de se délier la langue. Après la victoire des siens contre la Suède, mercredi soir, l’entraîneur-chef du Canada y est allé d’une déclaration forte au sujet de son capitaine, Sidney Crosby.
Mario Lemieux a un aura, partout où il passe. Même l’entraîneur-chef du Canada, Jon Cooper, devient un peu groupie quand il est question du Magnifique.
Voir Sidney Crosby et Mario Lemieux au centre de la patinoire du Centre Bell, ça avait quelque chose de touchant. C’était comme une autre passation des pouvoirs entre les deux légendes, après celle effectuée à Pittsburgh, il y a 20 ans.
Si vous avez encore besoin d’être convaincu de l’intensité de ce tournoi après la bataille dont on a été témoin entre la Suède et le Canada en lever de rideau de la Confrontation des 4 nations, c’est que vous êtes de mauvaise foi.
Même s’il est en vacances, Lane Hutson fait jaser au centre d’entraînement du Canadien, à Brossard, où les États-Unis s’entraînaient mercredi.