La carrière de Catherine Proulx-Lemay en 5 photos souvenirs
Le Journal de Montréal
La comédienne entourée de Rose-Maïté Erkoreka et Marilyse Bourke, dans la peau de son personnage de la série jeunesse de VRAK.TV, Une grenade avec ça ? diffusée durant près de dix ans dès 2002. Catherine interprétait le rôle d’Anaïs, l’ambitieuse employée du resto Captain Creighton. Elle recevra pour ce rôle six prix Gémeau d’interprétation au fil des ans.
En 2005, la comédienne de 29 ans, lors du lancement du deuxième long métrage de Ricardo Trogi, Horloge biologique. Catherine s’était vu confier le rôle d’Isabelle, la conjointe de Paul (Pierre-François Legendre) dans cette comédie dramatique qui raconte la peur de la paternité de trois gars dans la trentaine. Le film fut l’un des grands succès du cinéma québécois.
Lors du visionnement de presse d’Unité 9 de Radio-Canada, à l’automne 2012. Catherine Proulx-Lemay devenait la détenue Michèle Paquette qui allait finalement sortir de prison et mettre au monde des jumeaux, un rôle marquant pour la comédienne qui se retrouvait aux côtés de très grosses pointures telles Guylaine Tremblay et Céline Bonnier, dans cette bouleversante série créée par Danielle Trottier.
En guise de calendrier de l’avent 2014, Catherine et David Savard (le père de ses deux fils) enregistraient les 24 courts et amusants sketches de la série web humoristique À temps pour Noël, diffusée sur le site de Canal Vie. La comédienne y incarnait une mère de famille déterminée à éviter à tout prix le fiasco du réveillon de l’année précédente.
Il y a une dizaine d’années, la comédienne jouait alors le rôle de Véronique, la femme de Patrick (Patrice Robitaille), violentée plus tard par ce dernier dans la série Les beaux malaises. Elle incarnait aussi la détenue Paquette de la prison de Lietteville dans Unité 9, en plus de faire de nombreux doublages pour des films et séries.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.