Inquiets, les électeurs français du Québec se ruent aux urnes
TVA Nouvelles
Tout comme la fin de semaine précédente, les électeurs français vivant au Québec étaient nombreux à aller voter pour le second tour des législatives, samedi.
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Plusieurs d’entre eux ont affirmé à TVA Nouvelles craindre l’élection du Rassemblement national de Marine Le Pen à la tête du gouvernement.
«Je ne suis pas du tout rassuré quant au résultat. C’est vrai qu’on a été beaucoup inquiété au premier tour de voir la sortie de l’extrême droite surtout», a mentionné un ressortissant français
«J’espère qu’elle ne sera pas renouvelée et que ce sera un nouveau parti qui va peut-être apporter ce que les Français attendent comme solution», a affirmé une électrice.
De nombreux électeurs semblent vouloir privilégier le vote stratégique pour éviter de confier un gouvernement majoritaire à Mme Le Pen.
Les sondages annoncent un vote fragmenté qui porterait le Rassemblement national au pouvoir, mais celui-ci serait loin de la majorité absolue convoitée.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...