Et si le Parkinson commencait dans le nez? Et si le Parkinson commencait dans le nez?
Radio-Canada
Maxime Rousseaux, professeur adjoint au département de médecine cellulaire et moléculaire à l’Université d’Ottawa, explique que son équipe de recherche s’intéresse à la connexion entre le nez et le cerveau parce que la perte d’odorat touche la majorité des personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
[Les malades] auront une perte d’odorat des années et même des décennies avant de développer leurs symptômes moteurs, estime celui qui dirige aussi cette équipe de chercheurs internationaux.
Il espère que de cette façon ils puissent identifier à l’avance des patients et commencer les traitements plus tôt.
Cette recherche est menée dans le cadre d’une bourse de 9 millions de dollars américain sur 3 ans du regroupement Aligning Science Across Parkinson’s.