Encore plus de tension dans la 2e saison de «Portrait-robot»
TVA Nouvelles
L’Unité des enquêtes de la série «Portrait-robot» a déménagé ses pénates dans une autre section de l’édifice, mais les amateurs du thriller policier de Club illico peuvent se rassurer: les nouveaux locaux demeurent vintages et glauques, comme figés dans le temps.
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À quelques jours de la fin du tournage de la deuxième saison, l’Agence QMI a pu visiter le plateau et rencontrer les comédiens principaux ainsi que le réalisateur Alexis Durant-Brault.
Ce dernier, qui a voulu dès le départ faire un clin d’œil à la photographie et à l’ambiance du film «Seven», de David Fincher, parle d’une suite «encore plus tendue» cet automne sur la plateforme de Vidéotron.
«Il y a plus de tension et c’est plus surprenant encore, a dit Alexis Durand-Brault. C’est plus tordu dans les histoires, dans la façon qu’elles sont racontées et dans les habilités d’Ève. Elle a un petit côté sorcière qu’on a décidé d’exploiter encore plus.»
Ève, cette portraitiste judiciaire bipolaire dotée de talents particuliers, qui lui permettent de reconstituer le visage de criminels en travaillant auprès de victimes, est campée avec beaucoup de talent par Rachel Graton. On se rappelle qu’à la fin de la première saison, Ève apprenait que son fils William, disparu depuis cinq ans, était toujours vivant.
«Ève était chez elle en postpartum, un événement est survenu et elle a perdu William, mais ce n’est pas de la façon dont elle pensait», a mentionné la comédienne, rappelant qu’on a fortement suggéré aux téléspectateurs qu’Ève avait mis son fils en danger.