EN VIDÉO | Un vol d’Air Canada touché par un problème de moteur
TVA Nouvelles
Un vol d’Air Canada vers Paris, en Boeing 777, a rapidement dû rebrousser chemin mercredi soir et retourner à la case départ à Toronto «en raison d’une indication d’un problème de moteur».
«Après que l’avion a atterri, il a été inspecté par les véhicules d’intervention de l’aéroport conformément aux processus opérationnels normaux, et il a roulé jusqu’à la porte par ses propres moyens», a souligné la compagnie aérienne dans un courriel à l’Agence QMI, jeudi.
Les 389 passagers du vol AC872 ont finalement été emmenés à destination par un autre avion dans la même soirée.
«L’avion sera retiré du service pour une évaluation plus approfondie par nos professionnels de la maintenance et de l’ingénierie», a précisé le transporteur aérien.
Ce n’est pas la première fois qu’Air Canada se retrouve avec un problème de moteur dans l’un de ses appareils Boeing 777. Un vol de la compagnie, en direction de Delhi en Inde, avait aussi dû rebrousser chemin le 28 mai dernier pour un incident analogue, peu après le départ.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...